La question du climat

Consommation et climat

Idéotableau sur le fonctionnement du Modèle idéométrique de l’enfant

On obtient des masses de données scientifiques sur le climat au moyen de satellites. On peut ainsi, par exemple, prendre des mesures du rayonnement de différentes fréquences afin d’évaluer la composition, la température et le taux d’humidité de l’atmosphère et de la force et la direction des vents. On cherche aussi à connaître globalement le climat de la Terre. Par correspondance, l’enfant peut observer certains aliments et tenter de comprendre de quoi seront faits ses repas. Son développement cérébral correspondra ainsi aux progrès de la puissance des ordinateurs.

Idéotableau sur certains aspects de la <climatologie>

Remarques :   a. Dans ce tableau, les flèches sont sous-entendues.

b. La première rangée peut sembler indiquer une simple analogie. Il s’agit plutôt d’une correspondance idéométrique entre la vision de l’enfant et le modèle algébrique sous-jacent à ce qu’on appelle l’« observation » sur des photos par satellite.

c. L’IA indiquée dans ce tableau représente une intelligence artificielle qui fonctionne infraréférentiellement, ce qui correspond entre autres au travail inconscient du cervelet de l’enfant. L’IA peut également correspondre aux sons de mots qu’entend et tente de prononcer l’enfant, et qui désignent des aliments particuliers que l’enfant peut voir ou non à ce moment.

Il est possible d’établir une idéocorrespondance détaillée entre les références scientifiques en rapport avec les repas (au sens large) de l’enfant et celles qui sont relatives aux événements climatiques de longue durée.

Idéotableau sur les <changements climatiques>

La recherche embryo-psychologique sera en mesure de décrire les sentiments de l’enfant incité à manger de nouveaux aliments et, par un ficelage détaillé, d’indiquer ainsi quelle alimentation convient le mieux à un enfant particulier de cet âge. Par correspondance, on pourra effectivement déterminer quelles disciplines de recherches seront les plus appropriées pour faire face aux accidents climatiques.

Le réchauffement climatique se manifeste à la science (Gea central) essentiellement par les statistiques et les probabilités difficilement calculables d’un dérèglement climatique. Par correspondance, l’enfant serait conscient d’un changement de goût des repas et d’odeurs difficiles à identifier, en particulier, du fait qu’il comprend mal les mots qu’il entend. Le réchauffement serait en correspondance avec la tendance des aliments à devenir plus riches en calories, en protéines et en sucres… Où mènera alors cette étape du développement humain? Est-ce réellement une « crise » climatique globale ou quelque chose de moins grave? Par idéocorrespondance, l’enfant devra comprendre que la variation des goûts des aliments n’est pas en soi quelque chose de <dégoûtant>, ni de <menaçant>, mais un apport à sa santé et, par suite, à son autonomie future.

La <préadaptation>

L’idée de préadaptation signifie la possibilité réelle d’une adaptation d’un milieu donné aux besoins de l’enfant. Toutefois l’hypothèse d’une mal-adaptation au sens d’une préadaptation présentant des défauts serait pertinente.

Un exemple hypothétique de mathématique mal-adaptée pourrait se présenter dans l’algèbre particulière de la théorie de la relativité. On peut invoquer une équation telle que E = mc², qui décrit la quantité d’énergie libérée par la fission d’un atome d’uranium 235. L’idéocorrespondance met alors en rapport cette formule mathématique avec certaines caractéristiques d’un jeu comportant des risques sérieux peut-être probables.

Idéotableau : exemple hypothétique de <mal-adaptation des mathématiques>

Certaines mathématiques mal-adaptées auraient donc pu être à l’origine de la Guerre froide et du danger qu’elle représentait pour le développement futur de l’humanité.

La parfaite préadaptation n’existe pas. Il ne faut donc pas la chercher. Il faut plutôt tenter d’exploiter au mieux celle qui existe et, si possible, de l’améliorer, tout en prenant quelques risques qualifiables de normaux.

L’autonomie

L’enfant doit apprendre à se préoccuper de sa santé et de sa propreté, mais cela ne doit pas être sa plus grande priorité de chaque instant.

Les repas de l’enfant ne lui sont assurés que si tout demeure normal autour de lui. Par correspondance, le climat le plus favorable ne sera pas assuré en pratique parce qu’il suppose des conditions mathématico-physiques préadaptées qui ne sont pas certaines sur le long terme LT.

Principe d’autonomie générale : L’autonomie de l’enfant est importante en soi, mais pas plus que celle des autres enfants et, de façon générale, que celles des autres personnes.

Ce principe servira à mieux comprendre la suite.

Un <défi> de l’enfant?

L’enfant développe sa perception et, en particulier, son goût des aliments et ses manipulations autonomes à partir de ce qui se passe autour de lui. Il apprend son autonomie, par exemple, en lançant de sa nourriture par terre. =>> L’humanité fait face comme elle peut au changement climatique. Plusieurs, comme par défi, décident d’outrepasser les recommandations habituelles.

Une référence : Un exemple a priori possible pourrait être celui de la Tesla envoyée dans l’espace. « Lancée dans l’espace le 6 février 2018 à bord de la Falcon Heavy de SpaceX, la Tesla Roadster rouge d’Elon Musk est devenue un objet interplanétaire en goguette autour du Soleil. Mais le voyage interstellaire de la voiture de sport pourrait venir se terminer avec fracas sur la planète la plus proche et la plus précieuse à nos yeux dans un futur relativement proche… » (nationalgeographic.fr, Nadia Drake, 4 août 2020)

Remarque : L’e-psy originale consiste à interpréter en termes de conscience et de sentiment humain du jeune enfant les peurs, les punitions, les attentes pénibles… ou autres états d’âme que l’enfant peut éprouver, ou des percées intellectuelles qu’il peut connaître. Il convient toutefois de placer les noms de ces sentiments entre chevrons, <peurs>, <sentiment d’être puni>, <attentes pénibles>, indiquant ainsi que le petit enfant n’a pas encore de mots pour décrire ses propres sentiments ou émotions.

<Se retenir>

Pour l’enfant, par exemple, pouvoir <se retenir>, c’est savoir utiliser le pot, alors que, pour l’humanité actuelle, ce sera découvrir le modèle algébrique en tant que <vision du pot> et topologique en tant que <contact de la peau de l’enfant sur le siège du pot>. Un prototype serait par exemple le « camion-poubelle » qui attrape au harpon les déchets spatiaux.

Référence : Un camion-poubelle dans l’espace : l’Agence spatiale européenne lance une première mission de ramassage de débris en orbite. L’objectif est de détruire un morceau d’une ancienne fusée de plus de 100 kg. Ce « camion-poubelle de l’espace » doit être lancé en 2025 (Olivier Emond, Radio France; francetvinfo.fr).

L’INP

Rappel : L’Interprétation non pythagoricienne des lois physiques, l’INP, considère qu’un modèle compatible avec les observations reconnues est quand même faux jusqu’à preuve du contraire. Cf. L’interprétation non pythagoricienne des lois physiques.

On appellera ici « pseudo-souvenir » de l’enfant ce qui n’est pas exactement un faux souvenir, mais une rétention d’information effectuée ou transmise plus ou moins fidèlement par différents éléments de son organisme. L’enfant a par exemple des pseudo-souvenirs de touchers combinés ou non avec des sons, dans son état fœtal qui, pour lui, représentait déjà une sorte d’« éclairage » sur les êtres extra-utérins. Par correspondance, on peut penser aux diverses théories du ciel, ou astrologies, entretenues par différentes civilisations telles que celles des mésopotamiens ou des mayas. Il s’agit de ce qu’on pourrait appeler des hypothèses fausses, mais utiles au moins pendant un certain temps.

Notre science actuelle n’est encore constituée que d’hypothèses fausses dont le mérite est de paraître en accord avec ce que nous considérons comme nos observations les plus récentes, mais non nécessairement avec toutes celles que nous ferons dans l’avenir à long terme. Notre science actuelle en est encore au même stade que les souvenirs d’un enfant de 12 mois environ qui devra les revoir lorsqu’il sera en mesure de poser des questions aux plus grands que lui.

Pseudo-souvenirs?

La mémoire en général en tant que capacité d’accéder à des informations antérieures se retrouve chez l’enfant qui se « rappelle » des « événements » qui seraient antérieurs à la formation de son système nerveux. Ce type de rappel relève tout à fait de l’hypothèse fausse bien qu’éventuellement utile, comme par ailleurs dans le cas de la théorie du Big Bang ou même des époques géologiques du passé. La mémoire prise même au sens plus habituel, reste quelque chose qui relève de l’hypothèse tant qu’aucune démonstration rigoureuse ne la confirme pas.

Une demande d’inspiration…

Que veut dire « croire activement au potentiel réel de la recherche », ce qui est le fait de la plupart des chercheurs sinon tous? Un progrès bien compris sera l’affaire de chercheurs véritablement engagés envers leurs problèmes et non, par exemple, de croyants d’une foi stérile, qu’elle soit dogmatique ou idéologique.

Remarque : Plusieurs chercheurs en philosophie se sont trouvés inspirés par exemple par les Platon, Descartes, Kant, Marx, Simone de Beauvoir… et de leur esprit critique. Ces philosophes ne leur ont pas dit quoi faire, mais ils se sont avérés de puissantes sources d’inspiration au sens le plus fort du terme, pour ceux qui ont voulu se référer à leur pensée la plus authentique.

La recherche est toujours d’abord recherche d’inspiration. Elle se comprend comme une recherche rationnelle, plus ou moins méthodique, d’idées nouvelles, généralement appuyée sur des lectures de textes de référence. En épistémologie, les chercheurs n’agissent pas autrement. Par correspondance, l’enfant se fait expliquer par sa mère (ou l’une de ses maternantes) de façon accessible pour là où il en est dans son développement sensorimoteur, mental et intellectuel. C’est ce que recouvre plus ou moins clairement ce qu’on appelle l’apprentissage, qu’il s’agisse d’un apprentissage à manger ou à boire par lui-même, de l’apprentissage de mots nouveaux ou d’un apprentissage à la propreté.

Les « inspiricités »

Les réseaux inspirés – si on veut bien de ce mot, des « inspiricités »! – sont des réseaux de lecteurs-auteurs inspirés au cours de leurs recherches. Ils coïncident en gros avec les référentialités, en correspondance avec les cérébralités de l’enfant. La sérendipité, ou fait de faire une découverte par hasard, y joue souvent un rôle clé.

Idéotableau sur l’<inspiration>

Remarques : Les réseaux de « neurones <inspirants> » sont des réseaux neuronaux qui interviennent lors des manifestations d’idées nouvelles chez la personne inspirée. Les réseaux de « chercheurs inspirants » sont des réseaux de lecteurs inspirés par leurs lectures qui se font ensuite « auteurs inspirants » pour eux-mêmes ou pour d’autres lecteurs.

Le tableau qui suit donne un aperçu d’un mode de fonctionnement de la <Science>, c’est-à-dire de la science à venir.

Idéotableau sur les <capacités sensorielles et linguistiques> de l’<enfant>

Le tableau qui suit donne un aperçu d’un mode de fonctionnement de la <Science>, c’est-à-dire de la science à venir.

Idéotableau de la <Science>

Tableaux récapitulatifs

Le rôle de l’embryo-psychologie vers la compréhension des changements climatiques se dessine ici.

Idéotableau des idées de l’e-psy (colonne de gauche) appliquée aux changements climatiques

Le rôle de l’embryo-histoire permettant de modéliser les progrès à venir de notre compréhension des changements climatiques se résume dans l’idéotableau qui suit.

Idéotableau des idées à venir en embryo-histoire (colonne de droite)

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