On sait que la science moderne fonctionne remarquablement bien avec plusieurs régions ou couches disciplinaires identifiables aux mathématiques et à la physique, à la biologie, jusqu’aux sciences humaines. En faisant l’analogie avec les couches du cortex cérébral, au moyen de l’idéocorrespondance, on pourra parler de « réseaux d’auteurs / lecteurs », de « chaînes d’auteurs / lecteurs », « circuits d’auteurs / lecteurs »… comme on le fait en termes de neurones (réseaux de neurones, chaînes de neurones, etc.). Ce sont autant d’idéomorphies qui rendront, par exemple, la <structure complète> significative dans les technosciences.
Cette structuration de la science rend compte à la fois de son opacité et de son efficacité. Les <influx> y prennent la forme de l’inspiration / publication, en tant qu’entrée / sortie des idées. Le cyberespace, notion liée à l’interconnexion mondiale des ordinateurs, serait ainsi l’analogue physique d’un cerveau. On peut l’exprimer lui aussi comme dans un espace de graphe.
L’espace réel pourra être défini ou décrit comme l’espace encore indéterminé des sources d’inspiration et des découvertes.
Remarque : L’espace réel peut être représenté dans un espace de physique quantique en termes de paquets d’onde et de réduction de paquets d’onde ou, de façon encore plus abstraite, dans un espace mathématique de graphes ou de catégories (catégories mathématiques).
La structure analogique concernant l’inspiration
| Idéomorphie | Neurone | Enfant | Humanité actuelle |
| <Inspiration> | Excitation par influx reçu | Stimulations dans son apprentissage | Inspirations dans l’histoire des idées (ou histoire intellectuelle) |
| <Durée> impliquée(en abrégée: <T>) | Très court terme (mT) | Court terme ordinaire (CT) | Long terme (LT) |
| <Sélection> | Détermination neuronale de la réponse | Réflexion sur les mots, les idées | Comité de sélection de textes à éditer et publier |
| <Réponse> | Réaction au moyen d’un potentiel d’action neuronal | Mots prononcés par l’enfant sur la base de son début de connaissance du langage | Publications d’articles, de livres inspirés bientôt par l’idéométrie |
Idéotableau : l’inspiration en idées de l’humanité actuelle dans son proche avenir
L’application du principe de continuation au tableau qui précède autorise à détailler un peu la situation.
| D’abord dans l’utérus, l’enfant découvre l’origine des sons vocaux qu’il entend. Il les identifie à ceux de ce qui apparaît comme sa mère et, dans une certaine mesure, à ceux du reste de sa famille. | L’humanité ancienne attribue d’abord son inspiration technique et scientifique à la divinité puis, dans une certaine mesure, à des philosophes, savants ou autres « génies ». |
| Après sa naissance, l’enfant réagit en répétant et en modifiant les sons qu’il entend et en imitant de façon de plus en plus inventive ce qu’il voit faire autour de lui. | L’humanité développe son questionnement philosophique et cherche des théories mathématiques et technoscientfiques de plus en plus avancées, tout en gagnant de l’autonomie quant aux croyances en des divinités. |
| L’enfant prononce des mots et des phrases et exprime mieux ainsi ses besoins et ses désirs. | L’humanité découvre les idéoséquences et les idéotableaux, et elle s’en servira afin de clarifier ses connaissances en les appliquant aux grandes questions et à ses aspirations. |
Idéotableau sur la continuation de la recherche
Remarque sur la recherche idéométrique : Puisque l’humanité actuelle correspond à un enfant de 12 mois, ses connaissances actuelles ou prochaines sont en quelque sorte connues d’avance, du moins pour un ensemble de faits qui concernent le développement normal des enfants de cet âge. L’enfant laisse voir déjà un peu de son caractère (au sens psychologique) peu après sa naissance. Le Modèle de l’enfant demeurera toutefois valide pendant le temps qu’il faudra pour que l’enfant devienne plus personnel et de moins en moins descriptible par la simple normalité de son développement.
Les rôles clés des lecteurs / auteurs
La reconnaissance de la génialité de l’œuvre est en bonne partie attribuable à ses nombreux lecteurs qui auront été ensuite passeurs plus ou moins actifs. L’actualisation du génie d’un auteur dépendrait-elle donc entièrement de celle de ses lecteurs ?
La génialité d’un auteur n’est-elle pas aussi, de façon conséquente, celle de ses neurones ? Peut-être, mais cela impliquerait une base idéomathématique préadaptée.
Remarque : C’est une hypothèse de peu de sens jusqu’à preuve du contraire, et dont l’utilité reste à voir. Toutefois l’idée d’un hasard probabiliste préadapté dans les sciences de la nature se révèle déjà dans la mécanique quantique lorsqu’on se permet d’en appliquer les principes à l’Univers.
La capacité fondamentale d’<inspiration>
On peut attribuer l’origine de la stimulation polymorphe de l’enfant qui apprend au milieu dans lequel il se trouve, y compris ce que les autres font pour lui. L’enfant découvrira des idées nouvelles, des mots nouveaux. Et ce ne sera pas au simple hasard qu’il le devra, ce qui n’empêche pas qu’il devra beaucoup à la préadaptation du hasard.
Cette convergence d’apprentissage et d’acquisition se confirmerait en outre par le fait que ses éléments correspondent à des concomitances de recherches suivies de découvertes qui, dans le cas de l’enfant, concernent l’apprentissage de la marche, la permanence de l’objet et l’acquisition du langage, qui semblent tous apparaître de façon distincte à un âge compris entre 8 et 12 mois environ. Cela correspond, dans le cas de l’humanité à l’histoire de découvertes qui se sont toutes produites sans lien direct entre elles, dans le cours des années 1930 à 2021, constituant ainsi un moment particulier de la longue durée. Ce qui correspondrait.
| Enfant (de 12 mois env.) | Humanité actuelle |
| Apprentissage de la marche | Découvertes de technologies liées aux communications |
| Permanence de l’objet | Le potentiel réel des objets et des personnes |
| Acquisition du langage | Utilisation de la méthode Idéométrique |
Idéotableau sur les correspondances entre apprentissages et découvertes
L’efficacité de la recherche présuppose en général une généalogie de découvertes apportée par un flux important d’inspiration. Le lecteur, qu’il soit ou non auteur, est changé ou plus ou moins intellectuellement marqué par le texte. Dans ce flux d’inspiration, les lecteurs remplissent une fonction essentielle. Les concordances temporelles sont au moins en partie attribuables à la cohérence dans le détail des effets de la continuation de la recherche sur les idées.
Le début de la myélinisation des fibres nerveuses chez l’enfant de cet âge correspondrait par ailleurs chez l’humanité à l’essor initial des nouvelles technologies de l’information et des communications. L’humanité actuelle acquiert aussi l’idéométrie et le concept idéomorphique de potentiel réel.
Le parcours de l’enfant
Le tableau suivant précise quelques détails supplémentaires sur le parcours de l’enfant en correspondance avec celui de l’humanité.
| Enfant | Humanité |
| L’enfant dès l’utérus est inspiré par ce qu’il entend, en particulier 1) la voix de sa mère, puis 2) celles d’autres personnes de la famille; après la naissance 3) il apprend au moyen de certains sons, puis plus tard 4) par les mots. | L’humanité antique est inspirée en mathématiques, 1) en arithmétique en particulier, souvent d’abord en tant que dons obtenus 2) des déités, puis dans la modernité en produit de 3) la recherche mathématique pure et en sciences, puis… par 4) les tableaux qui les ordonnent en idéocorrespondances |
| Il réagit d’abord en produisant 1) certains mouvements plus ou moins consciemment dans l’utérus puis, après sa naissance, par 2) l’émission de cris et de sons, et 3) par des pratiques sensorimotrices plus ou moins volontaires. | Les mathématiques sont alors appliquées à 1) des développements théoriques qui deviendront 2) la science mathématique moderne, et il y aura 3) d’importants développements technologiques plus ou moins favorables, par la suite. |
Idéotableau 1 sur le <parcours de l’enfant>
Voici maintenant une autre hypothèse faussement formulée jusqu’à preuve du contraire, tout en étant par ailleurs très utile.
Schéma d’une œuvre cinématographique inspirante
L’étude des œuvres cinématographiques se trouve impliquée par le principe de continuation appliquée à la recherche, dans le sens de concerner le plus de formes de vie intelligente inspirée possible. Dans les œuvres de science-fiction contemporaines en particulier, les extraterrestres mis en scène peuvent être considérés comme des « exo-auteurs » inspirants.
L’un des schémas les plus « classiques » se retrouve par exemple dans le film « La Résurgence » (Independence Day: Resurgence, 2016), qui est la deuxième partie d’une série de deux films. On y raconte comment les humains sont confrontés à une puissance extraterrestre colossale et comment ils feront pour sortir vainqueurs de la confrontation. On y remarque la présence d’une sphère blanche qui représente une civilisation extraterrestre supérieure. Si on suppose que la sphère est un artefact de la part d’<exo-auteurs>, le <scénario> combinant l’idée de blockbuster similaire à La Résurgence avec sa perspective d’une civilisation extraterrestre très développée (la sphère blanche marquée horizontalement, qui correspond à la déité mère) et les savants terriens (<l’enfant>). L’inspiration passe de la sphère aux humains, sphère qui idéocorrespond à la mère, vers l’enfant (c’est ce que vivent les concepteurs et les spectateurs du film de façon fictive). Cette situation correspond à celle d’un enfant dont les neurones sont en rapport indirect mais réel avec ceux d’une autre personne lorsqu’ils font quelque chose ensemble, ou dans ce cas aux personnes d’un de ses rêves.
| Enfant (d’environ 12 mois) | Humanité actuelle |
| Rêve | Fiction cinématographique |
| Classe de neurones de l’enfant | Consommateurs |
| Influx neuronaux (potentiels d’action) | Idées Inspirées (entrées d’information) |
| Exo-neurones de la mère dans la fable onirique | Exo-auteurs extraterrestres comme membres d’une autre déité |
Idéotableau sur le rêve et le cinéma
Une « providence » mathématique et de hasard préadapté
Remarque : Lorsque l’enfant entend un son, ses organes auditifs se trouvent à capter dans le CT des fréquences sonores s’inscrivant dans de très courts laps de temps (mT). Par correspondance, l’arithmétique a commencé à se développer et s’inscrire dans l’histoire après que les personnes aient appris à effectuer des dénombrements dans le CT, le court terme ordinaire (voir le tableau, plus haut, sur l’inspiration en idées de l’humanité actuelle dans son proche avenir).
D’après le tableau sur l’inspiration plus haut, la détermination neuronale des réponses, la réflexion du chercheur et le comité de sélection pour une publication admettent toutes une part de hasard, mais aussi une part d’autre chose, en gros, des sources fiables d’inspiration.
En plus des réseaux neuronaux, le soubassement physicomathématique de la marche bipède serait par hypothèse un autre exemple de mathématiques préadaptées ainsi que le suggère l’extrait suivant d’une célèbre encyclopédie.
« Les robots construits pour mimer la marche humaine de manière planifiée effectuent une marche statique, peu naturelle et consommant une quantité importante d’énergie. Cela a conduit des roboticiens à proposer des modèles de marche alternatifs basés sur la notion de marcheur passif. La marche est alors le résultat d’un système dynamique oscillant comme un pendule que l’on aurait inversé et dont la mécanique elle-même assure l’équilibre […] Mis sur un plan incliné, le marcheur passif descend la pente sans utiliser le moindre moteur ou système de contrôle. Les mouvements de ses articulations (genoux, hanches, bras) sont dictés par les forces de gravité et l’inertie du système. Il en résulte une marche étonnamment dynamique et naturelle… » (Source : « Robotique et psychologie », Philippe Gaussier, Encyclopaedia Universalis, 2021).
Il n’y aurait donc, selon cette hypothèse qui reste à vérifier, aucun mécanisme adaptatif d’origine biologique de la marche bipède. Cette capacité serait d’origine physico-mathématique et donc, purement attribuable à une ou des structures mathématiques qui la rendrait suffisamment probable pour être aujourd’hui observable.
D’après le Modèle de l’enfant, la bipédie humaine devait être en quelque sorte prévue, ou rendue plus probable, parce que planifiée en quelque sorte par les déités idéomathématiques.
Remarque : Pour l’enfant, certains jeux deviennent faciles après qu’ils l’aient dérouté. Parfois il sera émerveillé un peu comme Eugen Wigner à propos de l’efficacité des mathématiques en physique. Notre approche consisterait ainsi justement à présupposer que les mathématiques elles-mêmes pourraient se présenter comme préadaptées à de telles propriétés physiques.
Source : Eugen P. Wigner, The unreasonable effectiveness of mathematics in the natural sciences, Comm. Pure Appl. Math., 13, Feb. 1960.
On peut comparer cet exemple avec ceux des sections coniques et, plus généralement, de l’algébrisation du système solaire. D’autres exemples de mathématiques préadaptées pourraient être tirés de la physique de Newton, puis d’Einstein et de la mécanique quantique.
Le « miracle grec »
Le « miracle grec » a été considéré comme le début de la pensée scientifique et philosophique, et a été en fait surtout un événement marquant les débuts de la référentialité de la recherche dite philosophique puis scientifique. Ce qui était nécessaire n’était pas l’unicité absolue de la génialité du peuple grec, mais le fait d’une unique transmission historique. La conscience grecque n’était pas en soi nécessairement extraordinaire, mais elle aura été passante et inspirante.
Remarque : Certains passages clés de l’article « La pensée référentielle. La mystique diffuse » (Agorathèque, 2019) sont repris dans ce qui suit.
La cérébralité du fœtus en tant que soubassement de la conscience deviendra un important champ d’étude. La première prise de conscience de soi de l’enfant correspond à la référentialité des premiers chercheurs ou philosophes grecs, par exemple celle de ceux qui ont précédé Platon ; ce courant référentiel inclut les référances de Platon aux philosophes qui l’ont précédé. Les débuts de la conscience du fœtus seront ainsi éclairés par le fameux miracle grec. Une telle situation historique serait le résultat d’un hasard préadapté d’après les caractéristiques du monde lui-même. Cet événement historique peut être vu comme un effet de l’inspiration pour un développement global sur le long terme des siècles et des millénaires. C’est alors un retour aux croyances de ces Grecs anciens. Les déités parentales y tiendraient et tiendraient à ce que l’<enfant> le sache.
L’acquisition de l’idéométrie
Le hasard de l’inspiration sera apparu souvent <providentiel>, c’est-à-dire en ligne avec l’inspiration envisagée sur la longue durée. Par exemple, on peut attribuer l’origine de l’inspiration de l’enfant au milieu dans lequel il se trouve, y compris ce que les maternantes font pour lui. L’enfant découvrira des idées nouvelles, des mots nouveaux. Et ce ne sera pas au simple hasard qu’il le devra.
Remarque : Il y aura et se développera une science des flux d’inspiration à différentes échelles de la place que le hasard y prend en correspondance avec la psychologie de l’apprentissage de l’enfant. Les chercheurs futurs feront des recherches autour des premiers chercheurs idéomètres en raison de leur rôle dans le développement du potentiel réel de l’humanité, y compris de façon infraréférentielle. Mon cas, en particulier, reflète la restructuration de ma conscience du réel à partir de 1965 environ, c’est-à-dire de mon premier questionnement sur l’existence du Dieu de mon point de vue d’alors, le Dieu que je croyais connaître et que je rejetais. C’était donc une sorte d’acquisition de l’idéométrie avant que j’apprenne à la développer, ce qui arriverait au cours des années 1980-2020…
Le symbole <>
Le symbole du double chevron « <> » désigne ici l’éclairage mutuel entre deux regroupements d’idées scientifiques qui paraissent d’abord séparés l’un de l’autre, par exemple, d’une part celui de la psychologie du développement de l’enfant, et d’autre part celui des sciences humaines telles que l’histoire des idées et la sociologie. Reprenons le tableau suivant pour nous en faire une première idée. Il faut présupposer que la continuation de l’apprentissage et de la recherche apparaisse encore à ce niveau de détails.
| Enfant (communication verbale) | Humanité (idéo-communication) |
| Une personne dit quelque chose à l’enfant. | Une toute nouvelle découverte idéomathématique est transmise par le GEA. |
| L’enfant lui répond. | Une séquence ou un tableau idéométrique est publiée en réponse dans le GEA. |
Idéotableau : les idées sur l’enfant <> les idées sur l’humanité
Chercheurs miroirs
Souvent, l’enfant se parle et se répond comme s’il le faisait pour quelqu’un d’autre. Justement, c’est ici le cas des chercheurs en idéométrie. Actuellement, seuls les chercheurs en idéométrie peuvent le faire, situation en correspondance avec celle d’un enfant plus ou moins conscient de ce qu’on lui a dit, puis de faire une réponse de façon peu appuyée. Ce seraient des chercheurs miroirs et donc partiellement en correspondance avec des neurones miroirs. On est comme un autre et on se répond au nom de l’humanité comme, à quelque part, une autre humanité.
À l’image des neurones miroirs, les chercheurs miroirs reflètent le <monde extérieur>. Ils s’activent quand l’humanité globale réalise une action et lorsqu’elle observe une déité les réaliser ou quand elle <imagine> une telle situation. Ils permettent à la déité humanité de comprendre les situations d’autres déités et d’apprendre une nouvelle tâche. Ils auraient donc la capacité de faire connaître la science (<conscience>) d’une autre déité. Or c’est exactement ce que signifie la publication d’un idéotableau. Il suscite l’inspiration chez les chercheurs suivie d’autres publications.
Le ficelage
Il s’agit d’un ficelage miroir de l’idée de <manifestation>. Le Modèle de l’enfant est une sorte de miroir, ce qui décrit l’enfant décrit aussi l’humanité actuelle. L’enfant se découvre en se parlant à lui-même, et c’est aussi ce que fait l’humanité qui cherche.
La <déité maternante> pourrait se manifester <ici même> en <ce moment> (dans le super espace et dans le long terme) !?
Remarque : Dans le long terme signifie, ici, qu’on n’attend pas la réponse pour demain, ni pour l’an prochain, mais dans les prochaines décennies.
Voici l’idée d’un écrit public, ou plutôt d’un manifeste idéel, de la part de la divinité :
| Mère | Déité maternante |
| Elle peut effectivement parler à l’enfant. | <Elle peut effectivement nous parler ici même en ce moment> (située dans le super-espace et sur le long terme) |
Idéotableau de la manifestation historique de la déité créatrice
Le ficelage-réflexion suggère l’existence d’une préadaptation en termes de flux d’inspiration / publication dans le long terme.
En attendant, ce qui suit ici peut être interprété comme une réponse de la déité sous la forme d’inspiration immédiate, ce qui correspondrait à l’impression immédiate que l’enfant se fait de sa mère auprès de lui.
Remarque : pour une mise à jour de nos idées en ce qui concerne la divinité et la religion, une nouvelle façon d’approcher la divinité, selon laquelle Dieu — s’il est reconnu dans son type d’existence — ne se reconnaît lui-même dans aucune des traditions religieuses existantes. …L’enfant réalise qu’il ne connaissait pas sa mère lorsqu’il n’en voyait encore que le dedans de l’utérus puis le dehors de son corps.